Découvrez la traduction française par ERTV du documentaire américain HIV=AIDS : Fact or Fraud ? réalisé par Stephen Allen en 1996
et consacré à la narration officielle du SIDA
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L’ingénierie du SIDA comme modèle de la fausse pandémie de Covid-19
La traduction française par ERTV de cet excellent documentaire américain consacré au SIDA est l’occasion de dresser le portrait a posteriori des acteurs de cette opération de sidération mondiale qui a persisté jusqu’à ce qu’un autre virus prenne le relais et tienne le haut de l’affiche à sa place : le Covid-19...
Depuis les années 1980, le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) était le phénomène médical le plus médiatisé au monde... et aussi celui ayant généré le plus d’argent. Aux États-Unis, des centaines de millions de dollars ont été accordés chaque année à la recherche, à partir du moment où les « chercheurs » acceptaient le postulat de Robert Gallo selon lequel le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) est l’agent infectieux responsable du SIDA ; toutes recherches contestant cette affirmation ne trouvant jamais aucun soutien institutionnel.
Un constat sur le temps long qui, lorsqu’on le compare à la séquence actuelle, nous pousse vers l’idée d’une narration sciemment choisie par une « élite » à un moment donnée et largement imposée à la masse de manière autoritaire. On peut dès lors parler de « narration oligarchique ».
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Les mêmes schémas narratifs ?
Le rôle des médias est bien sûr incontournable et indispensable dans cette « propagande », mais ce sont bien les « scientifiques » (nous verrons que l’indépendance dans le milieu scientifique est une donnée rare) qui donnent le la, c’est-à-dire la note à suivre. Ce sont eux qui délivrent aux politiques puis aux médias les détails de la narration à propos d’une épidémie.
Dressons quelques parallèles narratifs entre SIDA et Covid-19.
Les origines : dans les premières années de « l’épidémie de SIDA », la théorie favorite du gouvernement américain était celle du « singe vert ». Selon cette théorie, une colonie errante de petits singes verts d’Afrique centrale s’est aventurée dans un village indigène (dépassant par là leur frayeur millénaire) à la fin des années 1970. Après avoir mordu ou eu des relations sexuelles avec les femmes indigènes du village, ces petits singes verts auraient transmis aux humains un type de virus du SIDA (contre lequel ils semblent par ailleurs immunisés). Le métabolisme des femmes indigènes ayant « activé » le virus, elles l’auraient ensuite transmis à leurs maris qui, eux, l’auraient transmis aux homosexuels new-yorkais via Haïti, plateforme de prostitution homosexuelle entre les États-Unis et l’Afrique. De retour en Amérique, ces homosexuels auraient infecté la communauté gay new-yorkaise, qui elle va se rendre à San Francisco et ainsi propager la maladie sur la côte Ouest... Tout ça en quelques semaines !
Une belle histoire d’amour qui nous rappelle celle des pangolins d’Asie du Sud-Est, présentés comme une « espèce réservoir » ou un « hôte entre la chauve-souris et l’homme » dans le cas de la « pandémie mondiale » de Covid-19.
La création en laboratoire, c’est forcément du complotisme : les services secrets soviétiques, la Nation of Islam de Louis Farrakhan, la lauréate kenyane du prix Nobel de la paix 2004 Wangari Muta Maathai et même des médecins, avocats et militaires américains ont évoqué la création en laboratoire du virus du SIDA à des fins de guerre biologique menée par l’armée américaine et l’OMS via des campagnes de vaccination.
Alors quand le virologue Luc Montagnier, prix Nobel de médecine 2008 pour son isolation du VIH, émet l’hypothèse qu’une séquence du VIH aurait été introduite dans le génome du coronavirus et que le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère à l’origine de la pandémie de Covid-19 serait « sorti d’un laboratoire chinois avec de l’ADN de VIH », c’est la grosse panique du côté de la « communauté scientifique » qui dégaine son argument d’autorité pour mettre fin au débat : le complotisme ! Une réaction d’autant plus tous azimuts que, dans le même temps, le président des États-Unis Donald Trump et son secrétaire d’État Mike Pompeo annoncent une enquête de l’administration américaine à propos d’une échappée « accidentelle » du virus de l’Institut de virologie de Wuhan...
Sortez couverts ! Préservatif sur le sexe, masque sur la bouche, la « science » n’aurait-elle que le muselage physique et la peur sociale comme solutions ? Après avoir porté la terreur sur les interactions amoureuses et sexuelles de toute une génération, la nouvelle recommandation-injonction se résume ainsi : « Restez chez vous ! » Un pas de plus vers le consommateur de produits dématérialisés et un pas de recul quant à la nécessaire appréhension de la nature humaine et de l’organicité.
La maladie est incurable mais le vaccin va nous sauver : étant donné que tout est fait pour empêcher les protocoles de santé publique sérieux de s’appliquer (ceux de Luc Montagnier, de Kary Mullis, de Peter Duesberg, d’Everett Koop ou de Lynn Margulis pour le SIDA, celui de Didier Raoult pour le Covid-19), une seule politique se met en œuvre : celle de la panique organisée. En clair : on ne prend aucune décision, on attend, on mobilise des milliards (la fameuse « levée de fonds ») pour la « recherche », on vend des médicaments, on teste des traitements et on promet un vaccin efficace qui n’arrive jamais ! Dans le cas du SIDA, cette cavalerie court depuis 40 ans, combien de temps va-t-elle durer pour le Covid-19 ?
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SIDA/Covid-19 : les mêmes acteurs aux manettes
Accréditant un peu plus l’idée que la « pandémie » de Covid-19 est un décalque moderne du prototype qu’est l’ingénierie du SIDA, l’étude du profil des acteurs à la manœuvre dans les deux « opérations » est pour le moins instructive.
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ANTHONY FAUCI : figure médiatique de la théorie officielle autour de la « pandémie » de Covid-19, le grand promulgateur de la vaccination mondiale Anthony Fauci est surtout connu, avant cela, pour son travail d’immunologue autour de la nocivité du VIH. Un travail attestant internationalement l’idée d’un lien de causalité entre VIH et SIDA (dans la droite ligne des travaux de Robert Gallo) car imposé au monde en tant que directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du ministère américain de la Santé à la tête duquel il est nommé en 1984.
Si Gallo, lui aussi d’origine italienne, a probablement été cornaqué lors de son stage et de son internat (après son doctorat en médecine) par la très mondialiste université privée de Chicago (fondée par John D. Rockefeller et par laquelle sont notamment passés Hannah Arendt, Milton Friedman, Friedrich Hayek, Barack Obama, David Rockefeller, Bernie Sanders et Paul Wolfowitz), Fauci a sûrement été « pris en main » lors de son doctorat effectué au Weill Cornell Medical College of Cornell University, établissement d’enseignement supérieur situé à Manhattan et financé par le banquier philanthrope issu de Wall Street Sandy Weill.
Durant plus de trente ans, Anthony Fauci a brillamment contrôlé les débats autour du SIDA, prônant la « vaccination préventive » contre les infections par le VIH. C’est probablement à ce titre de parfait chien de garde que le pouvoir profond l’a promu début 2020 en tant que directeur de la White House Coronavirus Task Force. Profitant de ce rôle de porte-parole, Fauci a d’abord annoncé, en dissonance avec Donald Trump, que l’épidémie de Covid-19 allait tuer au moins 55 millions d’humains dans le monde... Il a ensuite préconisé des mesures autoritaires (faisant passer le président Trump pour un inconscient) puis déconseillé aux médecins américains de prescrire le protocole Raoult « du fait de sa potentielle toxicité ».
Un fait trop rarement évoqué : le NIAID d’Anthony Fauci a participé, de 2014 à 2019, au financement du laboratoire P4 de l’Institut de virologie de Wuhan, aux côtés des « Français » de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) et de l’institut Pasteur...
- Fauci prend la pose avec ses amis, dont George Soros, David Rockefeller et Bill Gates Senior (le père de Bill Gates)
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BILL GATES : que ce soit par le biais de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), de GAVI Alliance, du Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme, d’ONUSIDA, d’Unitaid, de la fondation Clinton ou de l’International AIDS Society, le multimilliardaire philanthrope Bill Gates est de tous les investissements, via sa fondation Bill-et-Melinda-Gates, dans le cadre de l’éternelle lutte contre le SIDA. Mais plus largement, c’est « l’accès au vaccin » au niveau mondial qui est le véritable cheval de bataille du fondateur de Microsoft.
Fils d’avocats et affairistes humanitaires connectés à l’élite américaine, le soi-disant petit génie de la micro-informatique Bill Gates a très certainement été recruté par le complexe militaro-industriel américain dès les années 1970 à l’université Harvard via la société IBM. Figure de la réussite du capitalisme américain dans les années 80, il devient le symbole de la société de consommation dans les années 90 puis repositionne son image dans les années 2000 (sous la menace de procès pour non respect du droit commercial).
Devenu philanthrope, il crée sa fondation de bonnes œuvres internationales avec sa femme mais surtout avec le gestionnaire Warren Buffet, l’un des hommes les plus riches du monde, propriétaire de la Berkshire Hathaway (une des plus grosses sociétés d’investissement du monde), soutien affiché du Parti démocrate, de Hillary Clinton et de l’État d’Israël, et dont le mentor est Benjamin Graham, « l’investisseur le plus doué de la planète ».
Grâce aux milliards déversés par sa fondation (alimentant au passage Wall Street et les plus grosses multinationales du monde via un subtil montage financier), Bill Gates devient un véritable dirigeant mondial non étatique. Une position qui correspond pleinement à sa vision ultralibérale par laquelle il prône une gouvernance mondiale par des élites technocratiques.
Tête de pont de la vaccination mondiale (il finance la recherche vaccinale et les sociétés qui vendent les vaccins), Bill Gates est le principal pourvoyeur de psychose dans la crise du Covid-19 : l’OMS et l’université Johns-Hopkins en ayant fait des tonnes durant des mois autour du nombre de morts tout en multipliant les recommandations anxiogènes et contradictoires.
Fidèle à sa vision malthusienne, cet épouvantail du Nouvel Ordre mondial milite donc de toutes ses forces pour la vaccination de sept milliards d’individus (ce qui induit un confinement prolongé et le plus de morts possibles). C’est sûrement à ce titre qu’il s’est réjoui de l’influence d’Anthony Fauci : « C’est formidable qu’il soit en position de force à la Maison-Blanche », avant de déclarer « Nous avons fait fermer toute l’économie. [...] Le PIB mondial sera probablement le plus impacté de tous les temps. [...] Mais vous n’avez pas le choix. [...] La normalité ne reviendra que lorsque nous aurons largement vacciné l’ensemble de la population mondiale ».
Précisons toutefois que derrière la vaccination, ou plutôt par la vaccination, une autre idée chère à Bill Gates se fait jour : le puçage par implants permettant la mise en circulation de certificats numériques (le projet ID2020) et le traçage généralisé. De quoi connecter avec le premier objectif de Microsoft et de la NSA : la surveillance généralisée.
Empêtré jusqu’au cou dans l’affaire Epstein, Bill Gates est notamment aidé dans sa tâche actuelle par trois professionnels de la lutte contre le SIDA : le Britannique Bill Roedy (ancien patron de MTV et actuel vice-président de GAVI Alliance, ambassadeur pour ONUSIDA, directeur de l’American Foundation for AIDS Research qui est une fondation mondaine fondée par la très sioniste Liz Taylor), le Belge Peter Piot (microbiologiste, ancien président d’ONUSIDA, conseiller scientifique de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen) et l’Éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus (directeur général de l’OMS, ancien ministre de la Santé puis des Affaires étrangères d’Éthiopie, ancien associé de la fondation Clinton, ancien directeur des fonds mondiaux de la lutte contre le SIDA). Pas de chance, ce dernier est accusé de trafic d’armes par l’armée éthiopienne et le nom de Bill Roedy apparaît dans le carnet noir de Jeffrey Epstein...
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DONALD RUMSFELD : en tant qu’ancien dirigeant (de 1997 à 2001) et toujours grand actionnaire du laboratoire pharmaceutique américain Gilead Sciences (très présent sur le marché des médicaments contre le SIDA), l’ancien secrétaire à la Défense des États-Unis sous Gerald Ford et George W. Bush est l’agent qui fait le pont entre le complexe militaro-industriel américain et l’une des principales firmes vaccinales mondiales à la manœuvre autour de la « pandémie » de Covid-19.
Très impliqué, cet homme du Pentagone a notamment usé de son influence pour faire bombarder par Bill Clinton l’usine pharmaceutique d’Al-Shifa à Bahri au Soudan en 1998 (opération Infinite Reach). Cette usine, qui était alors la source première de médicaments au Soudan, était surtout productrice d’un médicament contre le SIDA copié sur l’un de ceux vendus par Gilead Sciences...
Membre fondateur du think tank néoconservateur Project for the New American Century, Donald Rumsfeld est l’instigateur dès 2005 d’un plan de confinement obligatoire à domicile de toute la population américaine, préconisé en cas d’attaque bioterroriste. C’est ce plan que le directeur de la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI), le docteur Richard Hatchett (ancien conseiller de George W. Bush), a conseillé aux dirigeants occidentaux en mars 2020, parlant de « guerre »...
Fondée au forum de Davos (de Klaus Schwab, prophète du Great Reset) en 2017, la CEPI a pour objectif le « financement de projets de recherche indépendant pour mettre au point des vaccins contre les épidémies dues à des agents infectieux émergents ». Principalement financée par la fondation Bill-et-Melinda-Gates et le Wellcome trust (du nom de l’industriel philanthrope et franc-maçon Henry Solomon Wellcome), la CEPI est donc une organisation intermédiaire (ou de lobbying) entre les gouvernements et l’industrie vaccinale.
Rappelons ici que la compagnie pharmaceutique Burroughs Wellcome, entreprise appartenant au Wellcome trust (à l’époque où Lord Franks, co-directeur de la Rockefeller Foundation, en était le directeur), est la firme qui a développé et commercialisé l’AZT, ce médicament antirétroviral (le premier utilisé pour le traitement de l’infection par le VIH) extrêmement controversé de par son prix et sa nocivité...
La CEPI est actuellement présentée comme « l’organisme le mieux armé pour mettre au point un vaccin pour lutter contre le Covid-19 ».
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DEBORAH BIRX : médecin-colonel de l’armée américaine puis diplomate, Deborah Birx a d’abord commencé en 1980 en tant que clinicienne en immunologie, « se concentrant sur la recherche d’un vaccin contre le SIDA ».
De 1996 à 2005, elle est directrice du programme de recherche sur le VIH de l’armée américaine.
De 2005 à 2014, elle est directrice de la Division du VIH/SIDA mondial (DGHA) des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (le CDC, la principale agence fédérale de santé publique aux États-Unis).
En 2014, elle est nommée par le président Barack Obama au poste de « coordinatrice américaine de la lutte contre le SIDA dans le monde » au sein du President’s Emergency Plan for AIDS Relief (PEPFAR), un plan d’aide d’urgence à la lutte contre le SIDA à l’étranger (principalement l’Afrique) lancé par George W. Bush en 2003 et bénéficiant d’un budget de 48 milliards de dollars répartis sur cinq ans.
En 2015, elle dit espérer « mettre fin à l’épidémie de SIDA d’ici 2030 »...
En février 2020, elle rejoint Anthony Fauci au sein de la White House Coronavirus Task Force.
Mariée à un avocat proche des Clinton, Deborah Birx s’emmêlera les pinceaux en direct sur CNN en avril 2020 en abordant la question du traçage numérique des présumés porteurs du Covid-19, parlant d’une application des « critères Gates » avant de ravaler son lapsus révélateur et de parler de « critères du gouvernement fédéral »...
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FRANÇOISE BARRÉ-SINOUSSI : successeur de Pierre Bergé à la présidence du Sidaction, Françoise Barré-Sinoussi est installée par Emmanuel Macron en mars 2020 à la tête du Comité analyse, recherche et expertise (CARE), un organe de conseil scientifique du gouvernement dans le cadre de la lutte contre la pandémie de coronavirus.
Présidente du conseil scientifique de l’Agence nationale de recherche sur le SIDA (agence qui dépend de l’INSERM) et ancienne présidente de l’association International AIDS Society, Françoise Barré-Sinoussi n’a rien produit avec le CARE si ce n’est donner un avis défavorable à propos de l’hydroxychloroquine, « dont l’efficacité n’a pas été prouvée de façon rigoureuse », attaquer l’IHU de Marseille et jouer la carte de l’attentisme (elle parle plutôt de « patience ») dans le but à peine voilé de rendre indispensable la solution vaccinale.
Françoise Barré-Sinoussi a donc appliqué au Covid-19 une méthode éprouvée, celle de la « lutte contre le SIDA ». Un véritable modèle économique résumé ainsi par Faits & Documents : « Semblable à la cavalerie financière, ce modèle consiste à lever des fonds en attendant un vaccin qui n’arrive jamais... »
Rappelons que la notoriété de Françoise Barré-Sinoussi provient de sa participation à la « découverte » (c’est-à-dire l’observation ou encore l’isolation) du VIH en compagnie de Luc Montagnier, Willy Rozenbaum, Françoise Brun-Vézinet et Jean-Claude Chermann, pour le compte de l’institut Pasteur. À l’époque, cette découverte a mis en concurrence le gouvernement américain derrière Gallo (favorable à l’idée d’une identification de la causalité VIH=SIDA) et le gouvernement français tempéré par Montagnier qui en est resté, lui, à l’observation du virus. En 2008, l’attribution du prix Nobel de médecine à Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier règle le conflit de l’antériorité et tranche en faveur des Français, mais c’est bien la vision américaine qui l’a emportée depuis 1983... Barré-Sinoussi et l’institut Pasteur ont d’ailleurs largement pris le pli, à la différence de Montagnier qui remet aujourd’hui en cause ce lien de causalité.
Françoise Barré-Sinoussi fera donc toute sa carrière au sein de l’institut Pasteur, qui est une organisation internationale de recherche, privée, basée à Paris, historiquement en lien avec le gouvernement français, la famille Rothschild, l’OMS, le CDC et Sanofi (firme pharmaceutique française dirigée par le mondialiste Serge Weinberg qui, « après avoir fait la connaissance d’Emmanuel Macron à la commission Attali, l’a aidé à entrer chez Rothschild, dont il était à l’époque administrateur »).
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YVES LÉVY : « spécialiste de l’infection par le VIH », le Franco-Marocain Yves Lévy est surtout spécialiste de la recherche éternelle (mais lucrative) d’un vaccin contre le SIDA... Une bonne œuvre qui lui a ouvert les généreuses portes du financement public : professeur d’université, vice-doyen de la faculté de médecine de Créteil, directeur scientifique du programme vaccinal de l’Agence nationale de recherche sur le SIDA et les hépatites virale (l’ANRS), Yves Lévy est surtout le président de l’INSERM entre 2014 et 2018. C’est à ce titre qu’il collabora, au moins par deux fois, avec la fondation Bill-et-Melinda-Gates.
Acteur majeur de la « lutte contre le SIDA » en France, Yves Lévy est impliqué par quatre biais dans la gestion de la « pandémie » de Covid-19 : il est en guerre contre l’IHU du professeur Raoult depuis des années (qui lui faisait de l’ombre et l’empêchait de profiter pleinement des subventions publiques) ; il était « conseiller d’État en service extraordinaire » jusqu’à mai 2020 (c’est lui qui a demandé que soit mis fin à ses fonctions, probablement par peur du retour de bâton) ; il est marié à Agnès Buzyn, qui fut ministre des Solidarités et de la Santé de mai 2017 à février 2020 ; c’est sous son mandat que l’INSERM a participé au lancement du laboratoire P4 de l’Institut de virologie de Wuhan...
Bouclons la boucle en précisant que ce cher Yves Lévy a également été membre du comité directorial du Fonds de dotation Pierre Bergé (fonds chargé d’alimenter, en millions d’euros, le Sidaction) en compagnie de Françoise Barré-Sinoussi !
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KARINE LACOMBE : actuellement chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Antoine (hôpital universitaire de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris), Karine Lacombe est une « experte » internationale du SIDA : depuis 2012, elle intervient sur cette question qui rapporte auprès de l’OMS (de Bill Gates), d’Unitaid (de Bill Gates et Bill Clinton, anciennement présidée par Philippe Douste-Blazy, actuellement par Marisol Touraine), du programme ONUSIDA (lié à Bill Gates) et de l’International AIDS Society (financée par Bill Gates, George Soros, Gilead Sciences, Johnson & Johnson, Médecins du monde...).
Ses mentors dans le domaine ? Bernard Kouchner et Jean-François Delfraissy. Bernard Kouchner via Médecins du monde (ONG qu’il fonde en scission avec Médecins sans frontières suite à un conflit avec Xavier Emmanuelli et Rony Brauman), Jean-François Delfraissy via l’Agence nationale de recherche sur le SIDA et les hépatites virale (ANRS). Si Karine Lacombe est bénévole durant dix ans pour Médecins du monde (par goût du tourisme en Afrique ?), c’est au titre d’experte qu’elle intervient auprès de l’ANRS. Un titre qu’elle expérimente alors pour la première fois, venant à peine de soutenir sa thèse sous la direction d’Alain-Jacques Valleron, chercheur de l’INSERM et fondateur du réseau Sentinelles (dont le premier objectif est la « constitution de grandes bases de données en médecine générale et en pédiatrie, à des fins de veille sanitaire et de recherche »...).
Imposée par les médias dominants durant la crise (éternelle ?) du Covid-19, Karine Lacombe n’a, elle non plus, rien produit sur la question à part des récriminations à l’encontre du protocole Raoult. Un travail de chien de garde au service des firmes pharmaco-chimiques qui s’explique par les sommes perçues suite à ses « collaborations de recherche avec l’industrie pharmaceutique » : plus de 210 000 euros en 9 ans dont 28 000 euros de Gilead Sciences.
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JEAN-FRANÇOIS DELFRAISSY : homme de main des réseaux de l’INSERM, l’immunologue Jean-François Delfraissy succède en 2005 à Michel Kazatchkine (qui lui-même succédait à Jean-Paul Lévy) à la tête de l’ANRS. En parallèle, il est nommé directeur de l’Institut de microbiologie et maladies infectieuses de l’INSERM en 2008.
De spécialiste du SIDA dans les années 2000, Jean-François Delfraissy est donc devenu spécialiste des coronavirus en 2020 : nommé par le kouchnerien Jérôme Salomon à la tête d’un Conseil scientifique Covid-19 tombé de nulle part, Delfraissy y définira, en compagnie du Franco-Iranien Yazdan Yazdanpanah (gastro-entérologue et chercheur passé par Harvard, lié à l’INSERM et à Gilead Sciences, membre du CARE de Barré-Sinoussi), la ligne officielle du gouvernement : ne rien faire à part attendre le vaccin...
Une ligne qui nécessite de faire taire le professeur Raoult. Cela tombe bien, les deux hommes sont fâchés depuis l’entrée de Delfraissy au conseil d’administration de l’IHU Méditerranée Infection. Le Marseillais aurait-il mal pris l’ingérence du Parisien au service des réseaux de ses détracteurs qui le voit, eux, comme un concurrent ?
Toujours est-il que Delfraissy, que ce soit par le biais du Conseil scientifique ou de l’essai Discovery (un essai clinique coordonné par l’INSERM pour plébisciter les médicaments de Gilead Sciences), s’acharnera à discréditer le protocole Raoult à chaque occasion.
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BERNARD KOUCHNER : que ce soit en tant que fondateur de l’ONG Médecins du monde et de la Fondation pour l’action humanitaire ou en tant qu’ami proche de Willy Rozenbaum et de Jacques Leibowitch (qui est notamment à l’origine de la première trithérapie anti-VIH), Bernard Kouchner est un rouage important de la lucrative « lutte contre le SIDA » en France.
Si l’ancien ministre de la Santé est plutôt resté discret quant à la « pandémie » du Covid-19 (une intervention fin mars 2020 pour « féliciter le gouvernement qui gère très bien la crise »), son ombre plane littéralement sur toute la structure à l’œuvre.
Considéré comme son fils spirituel, le directeur général de la Santé Jérôme Salomon est son ancien conseiller technique. C’est lui qui a constitué le Conseil scientifique de l’Élysée, dans lequel on retrouve notamment Simon Cauchemez, directeur de l’unité de modélisation de l’institut Pasteur et ancien bras droit du statisticien Neil Ferguson, grand prêtre de la gestion libérale des hôpitaux, annonciateur de millions de morts en 2020 et promulgateur du confinement généralisé (Cauchemez et Ferguson ont d’ailleurs « étudié l’opportunité de la fermeture des écoles pour lutter contre une épidémie de grippe » lors d’un colloque organisé par Kouchner en 2008).
Martin Hirsch, actuel patron de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, est son ancien directeur de cabinet.
Parmi les « Kouchner Boys » au pouvoir, on retrouve également l’économiste de la santé Didier Tabuteau (président de la section sociale du Conseil d’État, responsable de la chaire Santé de l’Institut d’études politiques de Paris et codirecteur de l’Institut Droit et Santé), Dominique Martin (qui vient de quitter en novembre 2020 le poste de directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, poste occupé de 1993 à 1997 par... Didier Tabuteau), Philippe Lamoureux (ancien conseiller technique de Kouchner, ancien haut dirigeant de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, actuel président du LEEM, un syndicat qui regroupe les entreprises du médicament), Philippe Duneton (directeur exécutif d’Unitaid, directeur général de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), etc... Le marché du médicament n’échappera pas à Bernard Kouchner, qu’on se le dise !
Rappelons enfin que Bernard Kouchner est un « proche » d’Agnès Buzyn.
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Plus qu’une opération de recyclage, l’opération de sidération mondiale du Covid-19 est une extension de celle du SIDA, une accélération du processus d’exploitation oligarchique. Après 40 ans de règne, les tenants et les bénéficiaires de la bulle spéculative du SIDA ont décidé de la faire muter plutôt que de la voir exploser pu s’amoindrir. Une politique de fuite en avant et de passage en force qui tient à l’urgence d’imposer coûte que coûte la société de contrôle et de surveillance généralisée à laquelle ils travaillent depuis plusieurs décennies (les passeports sanitaires, le traçage par smartphone et les puces à ADN n’étant que la poursuite des projets secrets des outils de l’État profond américain que sont Microsoft et IBM).
L’observation des réseaux à l’œuvre derrière les personnalités majeures des deux « opérations » dessine sous nos yeux une architecture cohérente et distincte : d’un côté le complexe-militaro industriel américain sous pilotage oligarchique, de l’autre un pouvoir clairement communautaire installé au sein de la superstructure française (principalement articulé autour des réseaux de l’INSERM et de l’institut Pasteur). Les ramifications de ce Nouvel Ordre mondial, à la fois mondialiste et sioniste, sont notamment interconnectées par le Mossad israélien. L’emblématique affaire Epstein aidant grandement à faire la passerelle. Rappelons encore une fois que les grands mécènes Bill Gates et Bill Clinton aux États-Unis, Pierre Bergé et Jack Lang (que Bernard Kouchner connaît bien) en France, sont mouillés jusqu’au cou dans cette tentaculaire affaire de chantage et de pédocriminalité.
Et si le véritable remède aux « épidémies » du SIDA et du Covid-19 était d’ordre politique ? Après tout, le parasitisme oligarchique est un virus qui dépasse de loin le cadre de la science...
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